Zakuro O'Rykuno

Age: Apparence 22ans

 

Taille: 1m90

 

Poids: 90kg

 

Cheveux: Noir

 

Yeux: Noir (ou Sang)

 

Orientation : Bisexuel

 

 

 

Présentation:

 

Zakuro est ce qu’on pourrait qualifier de majordome… S’il n’était pas autant agrémenté de défauts. C’est certes un excellent élément dans son domaine, mais son côté sadique, macho et pervers faisait peur à des maîtres. Certes le jeune homme se fait donc passer pour le mauvais personnage que personne ne souhaiterais avoir à son service… Mais l’est-il réellement ? Bien évidement il ne peut être au service que d’une seule personne, mais à vrai dire jusqu’ à présent personne n’a réussi à éveiller son intérêt personnel…

 

Histoire:

 

Zakuro est issue d’une famille catholique qui depuis des milliers de générations porte le blason de Majordome O’Rykuno. De père en fils, ce métier à traverser à peu près toutes les époques que l’histoire puisse compter. Depuis sa plus tendre enfance, Zakuro a toujours été un enfant à problème. Violent et insolent, il martyriser déjà ses camarades de classe alors qu’il n’était qu’en primaire. Son entré en classe supérieur n’a rien changer à son comportement au contraire, il devenait de plus en plus arrogant et méchant, adorant par la même occasion terrifier ses professeurs, dont deux d’entre eux son partirent en dépressions durant ses deux premières années de collèges. C’est donc à son entrée au lycée que le père de Zakuro décida de le mettre en pension à Lykonuri School, un des établissements les plus réputés pour leur fermeté et leur sévérité dans leur mode d’éducation.

 

Mais c’est là que la vie de Zakuro bascula dans un sens qu’il n’aurait jamais imaginé. Ce n’était plus le petit caïd qui réussissait à soumettre tout le monde a sa volonté, non, il était devenu le souffre douleur des pires crapules de l’établissement. Cependant le jeune homme possédait un caractère bien trempé qui, heureusement pour lui, arriva à quelques fois lui sortir la tête de l’eau. Mais il n’avait pas encore vécu le pire malheureusement pour lui… Le pire fut ce jour en 1742, le jour qu’il n’oubliera surement jamais… Le jour de sa mort.

 

C’était un jour comme tous les autres, Zakuro sortait de son établissement pour son heure de détente avec son uniforme rapiécé encore une fois mit en lambeaux par ses « démons d’ennemis » comme ils les surnommaient là-bas. Il déambulait le long d’une grande avenue en essuyant d’un revers de main le sang qui ne cessait de couler de ses lèvres, serrant contre lui son seul bien, son cartable noir qui contenait son précieux carnet à dessin. Au bout de quelques difficiles mètres, il partit s’assoir dans une ruelle sombre afin de pouvoir un peu se reposer avant de rentrer à cet enfer d’internat qu’il redoutait tant. Enfin une minute pour lui, loin des poings et des injures qui lui pourrissait ses semaines depuis à présent deux longues et pénible années. Enfin un moment pour qu’il puisse vivre un peu en paix, réapprendre ce que c’était la sérénité… Un seul petit moment pour lui cassé par une bande de voyous du quartier voisin. Il n’avait pas vu la petite bande composée d’une dizaine d’homme s’avancer devant lui en rigolant bêtement, il n’avait pas vu leurs yeux remplis de haine et de méprit, il n’avait pas vu les armes qui sortaient de leurs poches. C’est donc avec un couteau de chasse dans le ventre qu’il lâcha son précieux sac qui contenait sa vie, sa vie qui s’envola aussi rapidement que le jeune homme se vidait de son sac sur le bitume froid de cette sombre ruelle…

 

Mais savait-il qu’ils n’y avaient pas que des humains qui peuplé cette ville ? Non bien sûr que non… Jusqu’à qu’il rouvre les yeux dans un luxueux manoir à quelques centaines de kilomètres où son âme lui avait été ôtée. C’est donc depuis ce jour-là que le jeune homme ne fit plus partit du monde des humains, mais de l’autre côté, celui des créatures obscures. Son maître se trouvait n’être personne d’autre que Kasha Tengu, un des vampires des plus puissant qu’il n’est jamais exister dans leur monde. Sa version des faits sur le fait d’avoir transformer le jeune homme était pour le moins troublante : L’ennui, prétendait-il qu’il se lassait de vivre seul, de se nourrir de jeunes femmes et de vierges qui passaient sur son chemin. Zakuro ne sut jamais la raison véritable.

 

Durant environ deux siècles, il fut donc au service de cet homme sadique et cupide qui ne vivait que de sang et de souffrance. Mais étrangement, le jeune vampire se prit d’affection (et sûrement d’amour) pour celui-ci qui, pour le moins du monde, aurai un jour découvert ses sentiments véritables. Seulement voilà, tout règne prend un jour une fin, celle-ci pour le moins était sanglante. Les habitants auraient levé une manifestation contre ce compte démoniaque. Mais, malgré ses forces titanesques et sa pratique de la magie noire, Kasha fini crucifié dans le mur d’une église après avoir eu le cœur arraché. Zakuro lui, était en déplacement pour son maître alors que la tragédie arriva. A son retour, il fut sous le choc de découvrir son logis en feu et en miette, mais ce n’était rien comparé au désespoir et à la haine qui l’envahit quand il trouva enfin le corps décomposé de son maitre après plusieurs jours de recherches incessantes.

 

La folie envahit donc son esprit, il se jura qu’à partir de ce jour-là, le moindre être humain qui aurait eu le malheur de croisé son chemin payera de la colère qu’il regorge pour tous ceux qui avait assassiné son maitre bien aimé. Son entrée dans le manoir ne se fit que bien plus tard, quand celui-ci était sur le point de mettre fin à ses jours en s’immolant après s’être recouvert d’eau bénite. Une jeune maitre le prit alors sous son aile et lui réapprit les devoirs et les valeurs de majordome qu’il incarner autrefois. C’est donc par pure reconnaissance que le vampire s’est mis à son service depuis ce jour-là.

 

Quand celle cie se maria, elle congédia Zakuro, mais fit en sorte qu'il intègre la plus prestigieuse des écoles de majordomes, bien que celui-ci n'eut plus rien a apprendre. Ce fut seulement pour qu'il ai un toit, en attendant d'être de nouveau au service quelqu'un.