Élisabeth Ler's Blake

Élisabeth a vu le jour dans une famille des plus riches de l'État du Mississippi. Fille d'un riche ingénieur marin et d'une célèbre professeure de dance classique, la petite brune aux yeux azur vécu dans la luxure et les bonnes manières. Déjà petite, sa mère l'initia a la danse classique, elle qui auparavant était elle même danseuse étoile vedette dans un de plus grand ballet du monde. Son père était toujours très occupé entre ses réunions, ses conférences et ses différentes maîtresses qu'il entretenait au fil des jours. Néanmoins, elle ne manqua pas d'amour grâce a sa nourrisse, Naoël. Élisabeth adorait quand elle l'amenait en vacances chez elle, rêvant d'avoir un jour un petit frère ou une petite soeur. Elle ne pouvait pas être plus heureuse qu'entourée de tous ces enfants qui couraient de maison en maison. Élisabeth aurait rêvé de vivre la bas, sans contrainte, de la liberté et de l'attention sans cesse... Mais on ne choisit guère sa famille.

Vers l'âge de 8ans, la petite fille fit son premier gala, avant de commencer a se préparer pour des nouvelles compétitions sous le regard de sa mère. Excellente élève, elle avait tout de la parfaire petite fille, mais elle n'était pas... Vraiment heureuse. Oui, la danse la passionnait, mais pas cette danse la: Élisabeth était passionnée par la danse de saloon. Oui! Le cancan! Elle adorait cette danse, au grand désarroi de sa mère qui trouvait cette danse d'une vulgarité assourdissante. 

Bien vite, de fortes tensions naquirent entre la mère et la fille, qui commença a se rebeller contre ses parents. La petite fille était rapidement devenue adolescente, c'est de la alors que les ennuis commençairent.
Elle commença par sécher les cours qui lui étaient imposés, pour aller la plupart de son temps dans le cabaret a quelques pas de son établissement scolaire. Régine, dite "La jambe précieuse", avait donc prit la jeune fille sous son aile afin de lui apprendre les bases, émue qu'une jeune fille de son envergure soit dotée d'une telle passion envers la danse cancan. Bien évidement, ses parents n'étaient en aucun cas au courant de cela, sinon saurait était le pensionnat sans aucun retour. Cette petite mascarade durant environs 6ans, jusqu'à qu'elle eu atteint l'âge de quitter le domicile familial. Elle partit s'installer au nord de la Caroline du Sud, afin de finir ses études de médecine.

Médecin, elle, franchement, quoi de plus ironique? Elle qui en plus avait une peur bleu des aiguilles... Mais bien vite, elle quitta l'école avant de partir vadrouiller a travers le monde. Seule? Comme ça? Bien sur que non, Régine était toujours a ses côtés, la jeune femme faisant a présent partit de la troupe des " Pretty's Women". La jeune femme se révéla d'être un grand talent, et fut bien vite repérée par un grand directeur de cabaret. Mais était-ce vraiment une bonne idée? Sûrement trop facile, mais c'est plus tard qu'elle s'en aperçu. Âgée a peine de 18ans, elle sauta sur l'occasion, la tête remplis d'étoiles et de rêves par ce beau parleur. Les premiers temps furent très instructifs, on lui apprit les bases puis le cancan en lui-même au fur et a mesure, mais le patron ne manquait chaque jour a lui faire des avances de plus en plus... Provocatrices. Gestes ou paroles déplacés fusaient et grimpaient en intensité au fil du temps, mettant la jeune femme dans une situation de plus en plus délicate. Mais sa vie se transforma rapidement en un cauchemar. Elle aurait du refuser cette invitation, elle le savait au fond d'elle même et pourtant, elle a dit oui. C'était sensé être un simple dîner, un simple dîner en tout bien tout honneur avec celui ci, qui avait cette fois ci promis de mettre un terme définitif a tout ça en échange d'un simple dîner. Mais elle comprit bien vite quand celui-ci la raccompagna chez elle que les apparences étaient souvent trompeuses. 

Portes verrouillées, vitres teintées, il s'arrêta devant le domicile de celle-ci. Déjà, Élisabeth n'avait pas souvenir de lui avoir communiquer, mais les quelques verres de vins commençairent a lui monter a la tête. Il posa une main sur sa cuisse avant de la remonter doucement, sans aucunes gènes. Élisabeth le gifla violemment, par pur réflexe, avant de l'insulter et de se détacher pour ensuite ouvrir la portière... Au ne s'ouvrait pas. Quelques secondes elle insista avant qu'il ne la saisisse par la gorge et la plaquer contre son siège avant qu'il ne commence a lui déchirer ses vêtements. Terrifiée, elle se débattit comme une folle en se mettant a hurler, mais une lame apparu devant ses yeux, suivit du sourire sadique de son agresseur. Ils voulaient tout dire, pourquoi? Mais elle n'eu pas le temps de se poser plus la question avant que la vitre arrière ne fut exploser par un impact de balle. Son agresseur, sûrement involontairement, jeta le couteau sur elle avant qu'il ne soit maîtrisé par des force de l'ordre, la lame se plantant juste dans l'aine de celle cie. L'hémorragie ne se fit pas attendre, elle vit des gyrophares avant de sombrer dans le noir total.
Une lumière surgit, tient? Elle était encore en vie? Doucement, Élisabeth ouvra les yeux avant de se rendre compte ou elle était: en réanimation. Une infirmière arriva puis lui dit:

"Ah vous voilà enfin! Vous nous avez fait une sacrée frayeur! Rester dans cet état deux semaines..."

Puis elle n'écoutait plus. Quoi? Deux semaines? Que... Quoi? Qui? Comment? Une cicatrice? Effectivement, la ou la lame s'était plantée, mais pourquoi etait elle si... Horrible? Les questions se bousculaient dans sa tête, mais heureusement que Régine fit son arrivée, ne manquant pas de lui passer un sacré savon tout en la serrant dans ses bas, du Régine tout craché en fait. Il se trouvât lors que l'homme, enfin l'agresseur en question, n'était même pas le directeur du cabaret, mais seulement son frère jumeau, et qui aurait profiter de sa ressemblance pour l'attirer dans ses filets. La belle tomba de haut, mais se promit de ne plus jamais faire confiance avant un long moment. 

Régine alors décida de l'envoyer dans une école de talent, espérant qu'un jour, Élisabeth trouve enfin cette petite chose qui lui remette les étoiles dans ses yeux qu'elle avaient perdue. Elle garde cependant un atout, son sourire dans les circonstances les plus tristes. 
Voici donc Élisabeth, une jeune femme aussi forte que du diamant. 

Mais... Il ne faut pas se méfier des apparences?